Faux Paseports
Titre
Faux Paseports
Créateur
Contributeur
Éditeur
Date
1984
Description
Roman
Format
15 X 21 cm
Langue
fr
Type
Support
237 p.
Identifiant
PLI-F-0 000 020
Résumé
(Lecture d'un long extrait de Faux-Passeports, ou Les Mémoires d'un agitateur)
José Gotovitch, historien, décrit l'attirance de Plisnier pour la révolution d'Octobre. Plisnier écrit régulièrement dans Les amis de l'Exploité, à l'origine du Parti Communiste Belge. Devenu avocat, sa trace politique n'est pas très marquée jusqu'au moment où le petit Parti Communiste crée une organisation spécifique, Le Secours Rouge International, "soutien financier et juridique aux camarades tombés dans la lutte des classes". Il se retrouve à la tête du Secrétariat Juridique International de cette organisation. On le prend au sérieux.
En 1927, il est au coeur de l'action: il orchestre la campagne en faveur des anarchistes Sacco et Vanzetti. On le retrouve également au Présidium du Congrès de la Ligue contre l'Impérialisme et l'Oppression coloniale. Mais, peu à peu, les premiers doutes s'installent: l'esprit de la Révolution d'Octobre aurait été trahi par Staline. Il rejoint la dissidence trotskiste. (Lecture d'un extrait de Faux-Passeports dans lequel il tente d'analyser cette situation)
En mars 1928, au congrès du Parti Communiste à Anvers, il prend la parole au nom de l'opposition trotskiste. Les dissidents sont exclus. Une année plus tard, Plisnier quitte cette opposition et il clôture sa période révolutionnaire.
Il écrit alors Faux-Passeports. Quel est le rapport entre la réalité et la fiction dans ce livre? José Gotovitch estime qu'il a réussi une transposition littéraire d'une réalité qui n'avait pas encore été écrite jusque là. Il est un précurseur, d'une part, dans le portrait qu'il dresse du militant
José Gotovitch, historien, décrit l'attirance de Plisnier pour la révolution d'Octobre. Plisnier écrit régulièrement dans Les amis de l'Exploité, à l'origine du Parti Communiste Belge. Devenu avocat, sa trace politique n'est pas très marquée jusqu'au moment où le petit Parti Communiste crée une organisation spécifique, Le Secours Rouge International, "soutien financier et juridique aux camarades tombés dans la lutte des classes". Il se retrouve à la tête du Secrétariat Juridique International de cette organisation. On le prend au sérieux.
En 1927, il est au coeur de l'action: il orchestre la campagne en faveur des anarchistes Sacco et Vanzetti. On le retrouve également au Présidium du Congrès de la Ligue contre l'Impérialisme et l'Oppression coloniale. Mais, peu à peu, les premiers doutes s'installent: l'esprit de la Révolution d'Octobre aurait été trahi par Staline. Il rejoint la dissidence trotskiste. (Lecture d'un extrait de Faux-Passeports dans lequel il tente d'analyser cette situation)
En mars 1928, au congrès du Parti Communiste à Anvers, il prend la parole au nom de l'opposition trotskiste. Les dissidents sont exclus. Une année plus tard, Plisnier quitte cette opposition et il clôture sa période révolutionnaire.
Il écrit alors Faux-Passeports. Quel est le rapport entre la réalité et la fiction dans ce livre? José Gotovitch estime qu'il a réussi une transposition littéraire d'une réalité qui n'avait pas encore été écrite jusque là. Il est un précurseur, d'une part, dans le portrait qu'il dresse du militant
ISBN
2-8713-2000-4
Collection
Citer ce document
Plisnier, Charles, “Faux Paseports,” Centre daily-Bul & C° - Archives, consulté le 28 mars 2024, http://dailybul.be/archibul/items/show/1061.