El batia moûrt soû à Engreux
Titre
El batia moûrt soû à Engreux
Créateur
Éditeur
Date
2008-09-16
Description
Présentation de l'exposition à Engreux ainsi qu'une courte interivew de Serge Poliart.
Format
A5
Langue
fr
Type
Identifiant
FBMS-A-001-002-0 000 413(N)
Résumé
Le journal satirique montois s'expose à l'auberge jusqu'au 12 octobre
ENGREUX Une exposition consacrée au journal satirique El batia moûrt soû se tient jusqu'au 12 octobre à l'auberge du Vieil Engreux.
À voir : des planches originales réalisées par la vingtaine d'artistes qui collaborent à l'illustration du trimestriel. "Cette exposition retrace l'histoire du journal que j'ai créé il y a 14 ans", précise Serge Poliart, le rédacteur en chef. Il ajoute : "au départ, j'ai ouvert un bistrot café-théâtre appelé Le bateau ivre, où j'organisais des expositions. Quand j'ai fermé, j'ai gardé des contacts avec les artistes. Ils ont accepté de participer au projet."
Durant trois ans, le journal satirique de Ville-sur-Haine (Mons) a été encarté dans le Charlie Hebdo. La collaboration avec la publication française a cessé en juin. Il sera vendu en librairie à partir du 17 octobre.
Comment se porte la presse satirique chez nous ? "Pas très bien", avoue le rédacteur en chef. "El batia se démarque du Pan et du Père Ubu dans le sens où c'est un journal d'artistes, proche de la gauche." L'aubergiste, Jacques Jaminon, a, comme Serge Poliart, fréquenté le Cirque d'hiver il y a trente ans. Ce qu'il pense de la presse satirique ? "Elle prouve que la liberté d'expression existe encore. La satire et la caricature amènent quelque chose de positif dans le sens où elles donnent un coup de pied dans la fourmilière, notamment au niveau politique..."
L'expo est accessible du mercredi au dimanche de 10 h à 20 h.
ENGREUX Une exposition consacrée au journal satirique El batia moûrt soû se tient jusqu'au 12 octobre à l'auberge du Vieil Engreux.
À voir : des planches originales réalisées par la vingtaine d'artistes qui collaborent à l'illustration du trimestriel. "Cette exposition retrace l'histoire du journal que j'ai créé il y a 14 ans", précise Serge Poliart, le rédacteur en chef. Il ajoute : "au départ, j'ai ouvert un bistrot café-théâtre appelé Le bateau ivre, où j'organisais des expositions. Quand j'ai fermé, j'ai gardé des contacts avec les artistes. Ils ont accepté de participer au projet."
Durant trois ans, le journal satirique de Ville-sur-Haine (Mons) a été encarté dans le Charlie Hebdo. La collaboration avec la publication française a cessé en juin. Il sera vendu en librairie à partir du 17 octobre.
Comment se porte la presse satirique chez nous ? "Pas très bien", avoue le rédacteur en chef. "El batia se démarque du Pan et du Père Ubu dans le sens où c'est un journal d'artistes, proche de la gauche." L'aubergiste, Jacques Jaminon, a, comme Serge Poliart, fréquenté le Cirque d'hiver il y a trente ans. Ce qu'il pense de la presse satirique ? "Elle prouve que la liberté d'expression existe encore. La satire et la caricature amènent quelque chose de positif dans le sens où elles donnent un coup de pied dans la fourmilière, notamment au niveau politique..."
L'expo est accessible du mercredi au dimanche de 10 h à 20 h.
Collection
Citer ce document
N.L., “El batia moûrt soû à Engreux
,” Centre Daily-Bul & C° - Archives, consulté le 20 avril 2024, http://dailybul.be/archibul/items/show/1131.
,” Centre Daily-Bul & C° - Archives, consulté le 20 avril 2024, http://dailybul.be/archibul/items/show/1131.